mercredi 9 mars 2011

Serions-nous passés à côté de Gore Vidal ?







Sans être véritablement passionnés par ses écrits mais parfois captivés par ses scénarios ("Ben Hur", "Soudain l'été dernier", "Caligula"), nous ignorions que Gore Vidal avait un jour été jeune et très photogénique, qualité qu'il n'a guère perdu avec les années. Premier auteur grand public ouvertement suave et langue de vipère fantastique (Apprenant la mort de Truman Capote, il déclare "Excellent pour sa carrière"), il reste l'homme qui cohabita mystérieusement pendant quelques années avec Joanne Woodward et Paul Newman pourtant jeunes mariés. Nous commençons à comprendre pourquoi et réalisons que définitivement, nous sommes passés à côté de Gore Vidal.

3 commentaires:

Jérôme (moins anonyme) a dit…

Pas tout à fait mon genre, mais "bedroom eyes and lips for..."

charlus80 a dit…

Et comme il n'était probablement pas ''compatible'' avec la Woodward.....

Fabrice a dit…

En parlant d'oraison funèbre, Marlene apprenant la mort de son grand ami Noël Coward : "Cela ne m'étonne pas, il n'avait aucune volonté !"