lundi 24 mars 2014

La fin du Quizz de Didier.





















She is back ! Et tout en écrivant cela, nous réalisons qu'elle n'est jamais réellement partie (en tout cas jamais très longtemps) : Mademoiselle Valentine DeLuxe est la gagnante de ce Quizz qui n'en finissait pas et laissait dans l'ombre le postérieur de John Saxon, ce qui était franchement indélicat. 

Elle a déjà vu son nom en noir sur gris, reçu nos félicitations, nos hommages et l'assurance de notre admiration éternelle. Qu'offrir donc à une femme qui a tout ? Eh bien un pot de confiture de quetsches dont nous avons achevé la cuisson il y a à peine 5 minutes. Attention Valentine, c'est très chaud. Mais c'est de bon coeur. 



Toujours parmi nous à plus de 77 ans mais semble-t-il un peu retiré des écrans depuis une poignées d'années, John Saxon est étrangement l'homme auquel on ne pense pas, ou bien on ne pense plus, quand pourtant on y songea beaucoup.

Lancé comme le nouveau visage et le nouveau corps prêt à affoler les adolescentes par inénarrable agent Henry Willson (mais oui, encore lui) au milieu des années 50, John Saxon aurait pu être un Rock Hudson, il aurait sans doute mérité d'être plus qu'un Troy Donahue de plus (en brun, bien sûr), si il avait semblé un peu plus concerné par ce qui se passait sur pellicule. Hélas, bien souvent, John Saxon donnait l'impression d'être là tout en étant ailleurs, même bien entouré et parfois bien dirigé.


Passèrent les années 60 et dans les années 70, John Saxon, s'il travailla convenablement, passa doucement des productions B au séries parfois Z, pour le bonheur de certains nous direz-vous. 

Car reconnaissons que John Saxon sut être un acteur suave, un acteur Soyons-Suave même, n'hésitons pas, n'hésitant pas, lui-même, à s'engager physiquement dans des projets qui ne nécessitaient peut-être pas de tomber la chemise mais dont personne n'eut à se plaindre. 







Et cela nous ramène à un début de carrière où il fit certaines photos, dont vous n'aurez aucun mal à trouver les formats plus larges, révélant une vraie nature de cinéma.

John Saxon était très beau, il y a peu il l'était encore, prouvant que non, le cinéma n’abîme pas toujours et que la génétique est décidément atrocement injuste.

































4 commentaires:

Anonyme a dit…

Effectivement. Mais comment faites-vous pour supporter ces films où des éphèbes courtisent en permanence des mémères à bigoudis ? Hollywood a élevé la tartuferie au rang d'un art kitsch

Jérôme (moins anonyme) a dit…

@ Anonyme: So-su projette, tout simplement ;-)

Etant un peu vipère, je me permets de signaler à Mlle DeLuxe que ce n'est pas vraiment la saison des quetsches et qu'à sa place je me méfierais un peu quand même...

soyons-suave a dit…

Nous congelons Jérôme, voilà le secret :)

Pasta Chiche a dit…

Je l'aime beaucoup aussi, même dans les Bruce Lee ;))